Chroniques coup de coeur


5 févr. 2017

Sunday's books #134

Mes lectures, mes réceptions et achats, une vidéo, mon récap de la semaine et une citation - Parlons livres, même le dimanche !


Mes lectures :
Cette semaine j'ai lu :
Couverture La Malédiction d'Oxford
Mes lectures actuelles :
La Vie enfuie de Martha K.Le bruit du silence


In My Mailbox :
Mes réceptions de la semaine
Le bruit du silence
Laure, une jeune artiste peintre d’une trentaine d’années, ne s’est jamais entendue avec son père, un écrivain misanthrope qui vit en reclus. Loin de les rapprocher, la mort de sa mère a creusé davantage encore le gouffre affectif qui les sépare. Aussi, quand une tempête de neige contraint Laure à passer la nuit chez lui, appréhende-t-elle ce tête-à-tête qu’ils n’ont jamais eu. À moins que le temps soit venu pour elle de confronter cet homme au silence et au désamour qu’il lui a toujours imposés…
Et si cette nuit de tempête était l’occasion pour ces âmes en perdition de baisser leur garde et de trouver enfin la paix ?

Laëtitia, ou la fin des hommes
Dans la nuit du 18 au 19 janvier 2011, Laëtitia Perrais a été enlevée à 50 mètres de chez elle, avant d’être poignardée et étranglée. Il a fallu des semaines pour retrouver son corps. Elle avait 18 ans.
Ce fait divers s’est transformé en affaire d’État : Nicolas Sarkozy, alors président de la République, a reproché aux juges de ne pas avoir assuré le suivi du «présumé coupable», précipitant 8 000 magistrats dans la rue.
Ivan Jablonka a rencontré les proches de la jeune fille et les acteurs de l’enquête, avant d’assister au procès du meurtrier en 2015. Il a étudié le fait divers comme un objet d’histoire, et la vie de Laëtitia comme un fait social. Car, dès sa plus jeune enfance, Laëtitia a été maltraitée, accoutumée à vivre dans la peur, et ce parcours de violences éclaire à la fois sa fin tragique et notre société tout entière : un monde où les femmes se font harceler, frapper, violer, tuer.

« La première chose que je vis d’elle fut sa cheville, délicate, nerveuse, qu’enserrait la bride d’une sandale bleue… »
Manhattan, 1969 : un homme rencontre une femme.
Dresde, 1945 : sous un déluge de bombes, une mère agonise en accouchant d'un petit garçon.
Avec puissance et émotion, Adélaïde de Clermont-Tonnerre nous fait traverser ces continents et ces époques que tout oppose : des montagnes autrichiennes au désert de Los Alamos, des plaines glacées de Pologne aux fêtes new-yorkaises, de la tragédie d’un monde finissant à l’énergie d’un monde naissant... Deux frères ennemis, deux femmes liées par une amitié indéfectible, deux jeunes gens emportés par un amour impossible sont les héros de ce roman tendu comme une tragédie, haletant comme une saga.
Vous ne dormirez plus avant de découvrir qui est vraiment « le dernier des nôtres »

Un des romans les plus attendus de la rentrée littéraire étrangère, LE livre qui a fait l'événement de la Foire de Francfort 2014. Américaine d'origine camerounaise, Imbolo Mbue puise dans son expérience pour raconter les destins croisés de deux familles que tout semble opposer ; un premier roman pétillant qui questionne avec une certaine jubilation l'illusion de l'American dream au profit de l'African dream.
Aux États-Unis et au Cameroun, en 2007.
Nous sommes à l'automne 2007 à New York et Jende Jonga, un immigrant illégal d'origine camerounaise, est en passe de réaliser son rêve : après avoir été plongeur et chauffeur de taxis, il vient de décrocher un emploi de chauffeur pour Clark Edwards, riche banquier à la Lehman Brothers. Pour Jende, tout est désormais possible : il va enfin pouvoir offrir à Neni, son amoureuse, les études de pharmacienne dont elle rêve. Et surtout, pour les Jonga, le Graal est en vue : obtenir leur carte verte et devenir enfin des Américains.
Mais rien n'est simple au pays de l'American Dream. Entre Jende, loyal, discret, compétent, et son patron Clark, noyé dans le travail et les difficultés de la banque se noue une vraie complicité. Les deux familles se rapprochent, mais si les Jonga sont soudés malgré l'épée de Damoclès de l'expulsion, les Edwards sont en proie à de nombreux problèmes. Pour tous, l'interminable demande d'asile des Jonga et la menace d'éclatement de la bulle des subprimes vont remettre en question leurs certitudes...

« À la fin de décembre 1999, une surprenante série d’événements tragiques 
s’abattit sur Beauval, au premier rang desquels, bien sûr, la disparition du petit
Rémi Desmedt.
Dans cette région couverte de forêts, soumise à des rythmes lents, la disparition
soudaine de cet enfant provoqua la stupeur et fut même considérée, par bien des
habitants, comme le signe annonciateur des catastrophes à venir.
Pour Antoine, qui fut au centre de ce drame, tout commença par la mort du chien… »

« Au temps d’avant, avant tout ça, avant ce que je vais raconter et le reste, c’était le bonheur, la vie sans se l’expliquer. Si l’on me demandait "Comment ça va ?" je répondais toujours "Ça va !". Du tac au tac. Le bonheur, ça t’évite de réfléchir. C’est par la suite que je me suis mis à considérer la question. » - G. F.
Avant, Gabriel faisait les quatre cents coups avec ses copains dans leur coin de paradis. Et puis l’harmonie familiale s’est disloquée en même temps que son « petit pays », le Burundi, ce bout d’Afrique centrale brutalement malmené par l’Histoire. Plus tard, Gabriel fait revivre un monde à jamais perdu. Les battements de cœur et les souffles coupés, les pensées profondes et les rires déployés, le parfum de citronnelle, les termites les jours d’orage, les jacarandas en fleur… L’enfance, son infinie douceur, ses douleurs qui ne nous quittent jamais.

Couverture Harry Potter et l'enfant maudit
Etre Harry Potter n'a jamais été facile et ne l'est pas davantage depuis qu'il est un employé surmené du ministère de la Magie, marié et père de trois enfants. Tandis que Harry se débat avec un passé qui refuse de le laisser en paix, son plus jeune fils, Albus Severus, doit lutter avec le poids d'un héritage familial dont il n'a jamais voulu. Le destin vient fusionner passé et présent. Père et fils se retrouvent face à une dure vérité : parfois, les ténèbres surviennent des endroits les plus inattendus.

Couverture Songe à la douceur
Quand Tatiana rencontre Eugène, elle a 14 ans, il en a 17 ; c’est l’été, et il n’a rien d’autre à faire que de lui parler. Il est sûr de lui, charmant, et plein d’ennui, et elle timide, idéaliste et romantique. Inévitablement, elle tombe amoureuse de lui, et lui, semblerait-il… aussi. Alors elle lui écrit une lettre ; il la rejette, pour de mauvaises raisons peut-être. Et puis un drame les sépare pour de bon. Dix ans plus tard, ils se retrouvent par hasard. Tatiana s’est affirmée, elle est mûre et confiante ; Eugène s’aperçoit, maintenant, qu’il la lui faut absolument. Mais est-ce qu’elle veut encore de lui ? Songe à la douceur , c’est l’histoire de ces deux histoires d’un amour absolu et déphasé – l’un adolescent, l’autre jeune adulte – et de ce que dix ans à ce moment-là d’une vie peuvent changer. Une double histoire d’amour inspirée des deux Eugène Onéguine de Pouchkine et de Tchaikovsky – et donc écrite en vers, pour en garder la poésie.

Lifetime :
La vie enfuie de Martha K. de Angélique Barbérat

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Et pour finir une petite citation littéraire :
Voici 18 citations qui prouvent que Harry Potter et JK Rowling peuvent vraiment être inspirants !:

Et voilà !! J'espère que cet article vous a plu !
Bise et bon dimanche :)

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